
Voilà une réflexion de long court, non viciée par un regard « blanc », sur l’histoire du peuple algérien. Côtoyant les grandes civilisations ( Carthage, Rome… ), prenant part entière à leur expansion et à leurs luttes, les marquant par ses célébrités ( Syphax, Massinissa et autres saint-Augustin ), il en subit les contre-coups, mais retrouve à chaque fois une nouvelle vigueur. D’abord, avec la longue marche de l’Emir Abdelkader, puis le mouvement national, qui fit avorter l’etat colonial – appareil, avant d’ouvrir de plus en plus de possibilités d’interventions dans l’Etat colonial-champ politique, tels que les a définis Pierre Bourdieu.
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