Le jeune auteur, Charles-Antoine Cros, raconte les aventures en mer des pirates à la recherche du trésor. Exalté, il nous répond avec cette lueur qui brille dans le regard…
L’ivrEscQ : Comment vous est venue l’idée d’écrire ?
Charles Antoine Cros : J’ai vu maman, Anna Cros écrire, elle avait beaucoup de plaisir à le faire, je voulais faire autant ; je commençais à imaginer des histoires. En fait, maman m’a inspiré. Maman écrit des contes et des romans policiers pour enfants et adolescents; elle et moi vivons un lien fort.
L : Etes-vous heureux du résultat que vous avez eu de l’écriture ?
CAC : Oh oui ! je suis très heureux. Je n’ai jamais imaginé que je pouvais être lu par tout ce monde et qu’on vienne vers moi pour comprendre mon aventure vers l’écriture.
L : Que racontez-vous dans vos livres ?
CAC : Je raconte des histoires de pirates, le capitaine Thomas Chis, dans le tome 1, va à la recherche d’un trésor sur l’île de Noirmoutier avec son bateau La Fleur de Lys, et, en chemin il rencontre Anaïs qui se noyait avec l’équipage de son bateau. Le héros décide de la sauver et, il continue sa route dans le tome 2. Dans le tome 3, il va à la rencontre d’un ami de son père, il arrive à Marseille et se ballade d’époque en époque avec des personnages historiques et plein d’aventures. Il va à l’époque des chevaliers, et rencontre Jeanne d’Arc…
L : Est-ce que la télévision vous a aidé dans vos écrits ?
CAC : Non je n’aime pas la télévision ; par contre je lis énormément et à parir de là, mon imaginaire est fécond.
L : Comment vous présentez-vous à notre jeune lectorat en Algérie ?
Je souhaite tellement le rencontrer, je commence à rencontrer un lectorat qui n’est pas français, à titre d’exemple, mes livres se vendent très bien, en Asie 60.000 seront vendus en Chine.
L : Combien mettez-vous de temps pour écrire un livre ?
Quatre mois. Dès que j’entame un livre, je n’arrête pas, toute l’inspiration est là jusqu’à la fin
L : Espèrez-vous que votre livre sera vendu en Algérie ?
Oh oui ! je le souhaite vraiment, j’aime rêver avec les autres de culture différente, cela me permet d’enrichir mon imagnaire.
L : est-ce que votre lectorat est jeune ?
Les enfants me lisent ; les adultes aussi.
L : Parlez-nous de vos projets ?
CAC : Actuellement, je me suis lancé dans une relation avec les chevaux, car je pratique l’équitation ; dans mon prochain livre je quitte les pirates pour parler d’un cheval indomptable, son propriétaire décide de l’adopter ou de le mettre à la boucherie…
L : Est-ce que le succès et les interviews vous fatiguent ? Et comment vivez-vous ce succès ?
CAC : J’aime répondre avec plaisir aux interviews ; par contre au collège, je ne veux pas que les enfants me parlent de mes écrits ; avec mes camarades, je veux rester comme tout le monde. Quant à mon succès, j’ai beaucoup de chance grâce à ma maman. J’ai vendu beucoup de livres.
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