Marc BONAN: In Memoriam
Tout a commencé avec les regards de Sénac
sur l’Art dans Visages d’Algérie, tout s’est
poursuivi à Montpellier lors d’une soutenance
de thèse et tout s’est terminé dans
un mélange d’encres pour un recueil à deux
voix qu’il intitula La profonde terre du
verbe aimer.
Hamid a déserté notre terre. Un dernier
mail, un dernier entretien téléphonique : je
le croyais sauvé. Il mourait.
Quand il venait à Marseillle les mains chargées
de livres et de dattes nous évoquions
l’Algérie, Sénac et les jeunes poètes sans
oublier le Titteri si cher à nos coeurs.
J’étais son frère et lui mon frérot. Citant Al
Halladj, il disait : «Tout chemin va de l’un
à l’autre ». Nous nous retrouverons sur ce
même chemin un jour ou l’autre. Patience !
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