L’autrice de « Soleil amer » figure dans cette première sélection de l’académie Goncourt
« À la fin des années 50, dans la région de l’Aurès en Algérie, Naja élève seule ses trois filles depuis que son mari Saïd a été recruté pour travailler en France. Quelques années plus tard, devenu ouvrier spécialisé, il parvient à faire venir sa famille en région parisienne. Naja tombe enceinte, mais leurs conditions de vie ne permettent pas au couple d’envisager de garder l’enfant…
Avec ce second roman, Lilia Hassaine aborde la question de l’intégration des populations algériennes dans la société française entre le début des années 60 et la fin des années 80. De l’âge d’or des cités HLM à leur abandon progressif, c’est une période charnière qu’elle dépeint d’un trait. Une histoire intense, portée par des personnages féminins flamboyants. » Par l’éditeur
A visualiser la première sélection du prix Goncourt :
-Lilia Hassaine, Soleil amer (Gallimard)
-Louis-Philippe Dalembert, Milwaukee Blues (Sabine Wespieser)
-Christine Angot, Le Voyage dans l’Est (Flammarion)
-Anne Berest, La Carte postale (Grasset)
-Sorj Chalandon, Enfant de salaud (Grasset)
-Agnès Desarthe, L’Éternel Fiancé (L’Olivier)
– David Diop, La Porte du voyage sans retour (Seuil)
– Clara Dupont-Monod, S’adapter (Stock)
– Elsa Fottorino, Parle tout bas (Mercure de France)
– Patrice Franceschi, S’il n’en reste qu’une (Grasset)
– Philippe Jaenada, Au printemps des monstres (Mialet-Barrault)
– François Noudelmann, Les Enfants de Cadillac (Gallimard)
– Maria Pourchet, Feu (Fayard)
– Abel Quentin, Le Voyant d’Étampes (L’Observatoire)
– Mohamed Mbougar Sarr, La Plus Secrète Mémoire des hommes (Philippe Rey)
– Tanguy Viel, La Fille qu’on appelle (Minuit)
Il n'ya pas de réponses pour le moment.
Laissez un commentaire